Ceci est une traduction de l’
article original en allemand. Merci de commenter n’importe quelle erreur ou ambiguïté. Après avoir vu une publicité pour investir dans la société “Livingpackets”, j’étais curieux de savoir s’il s’agissait d’une escroquerie, d’une arnaque, d’un système de boule de neige. Dans cet article, je traiterai exclusivement le mode de financement que l’entreprise appelle “
Profit Sharing Sponsoring Campaign” anglais pour “campagne de parrainage de la participation aux bénéfices”, détaché d’une évaluation du principe commercial de LivingPackets. Avant tout : Bas les pattes avant que tu aies fait de la recherche.
Impression personnelle de la vidéo publicitaire
La vidéo publicitaire sur YouTube – dont j’ai fait référence de la version allemande (pourquoi pas en français? voir anecdote 3 a la fin de cet article) ci-dessus présente un jeune homme atrocement souriant. Cet homme raconte à quel point il aurait été chouette d’investir il y a 20 ans dans une des grandes entreprises Internet pour en profiter aujourd’hui. Il implique ensuite que LivingPackets est une entreprise tellement chouette dans une phase comme celle que ces entreprises ont connue il y a 20 ans et qu’on pourrait y investir. L’investisseur récupérera son investissement cinq fois. Dans la vidéo, à la question du pourquoi son entreprise ne cherchent pas simplement à se financer par investisseurs financiers normaux comme des banques est abordée. Le jeune homme répond de manière pathétiquement ringarde qu’il ne veut pas travailler avec des gens qui ne s’intéressent qu’à leurs profits et qu’il préfère travailler avec le cher spectateur [qui n’a bien-sûr aucun intérêt à faire des bénéfices^^]. Dans la section suivante, je vais d’abord expliquer quelques éléments fondamentaux sur le financement des entreprises, puis je passerai à l’analyse de l’investissement dans LivingPakets. Si vous connaissez déjà les bases, je vous recommande de passer directement à l’analyse.
Fondamentaux sur le financement des entreprises.
Quand une entreprise organisée en société de capitaux a besoin de plus d’argent qu’elle ne gagne de ses activités, elle a trois options : Lever des fonds propres, des dettes ou recevoir un don. Lorsqu’une société est créée, elle ne gagne pas d’argent au départ car, en règle générale, car son activité n’existe pas encore. Les dons sont plutôt rares et prennent principalement la forme de subventions gouvernementales (en anglais: government grant). Toutefois, l’État peut également apporter une aide d’autre manière en devenant un fournisseur de capitaux propres ou de capitaux d’emprunt. Dans ce qui suit, nous allons examiner brièvement le financement par capitaux propres et par emprunt en général.
Capitaux propres
Pour le financement en fonds propres, la société émet des titres de propriété. Si la société est une société anonyme, ces titres sont alors appelés des actions. Chaque titre représente une part du capital de la société, c’est-à-dire du capital qui appartient à la société elle-même. Ces titres ont généralement une durée illimitée. Cela signifie que la société n’a aucune obligation de les reprendre en échange du remboursement. Mais vous pouvez revendre les titres. Si une entreprise fait des bénéfices, l’investisseur veut en tirer et reçoit un dividende, c’est-à-dire une participation aux bénéfices. Si l’entreprise ne réalise pas de bénéfices, l’investisseur renonce également à son dividende, car il est dans son intérêt que l’entreprise soit encore liquide au cours de la période suivante (*Anecdote 1 ci-dessous). Lors de la création d’une société, les fondateurs apportent généralement leurs fonds privés dans l’entreprise sous forme de capitaux propres et reçoivent en retour la propriété de l’entreprise. Si, plus tard, il faut plus de capitaux que ce que les fondateurs peuvent se permettre de mettre dans la société, ils peuvent faire appel à d’autres investisseurs. Ces investisseurs deviennent copropriétaires de la société et peuvent exercer une influence plus ou moins grande sur les directeurs généraux (les fondateurs) selon le type de société. Comme il faut généralement réunir beaucoup plus de capitaux que ce que les fondateurs peuvent fournir, un financement exclusif de cette manière donnerait bientôt aux autres investisseurs une majorité de vote sur les fondateurs et leur permettrait de les évincer. C’est une chose que les fondateurs veulent généralement éviter et ne choisissent donc pas un financement exclusif par capitaux propres. Il existe également des moyens de garder le contrôle de la gestion d’une entreprise en cas de financement par fonds propres majoritaire par des tiers, comme les actions privilégiées sans droit de vote ou les sociétés en commandite, que je n’aborderai pas ici, car ils ne sont généralement utilisés que dans les grandes entreprises.
En résumé : Le capital social me donne, en tant que fondateur, l’avantage de ne devoir payer à l’investisseur en fonds propres que si je réalise un bénéfice et que la durée est illimitée. Le désavantage est que je perds une partie du contrôle de ma société en tant que fondateur. En tant que fournisseur de capitaux propres, j’ai également le risque d’être le dernier (c’est-à-dire après les prêteurs) à être payé sur la somme d’insolvabilité en cas d’insolvabilité de l’entreprise, ce qui signifie généralement une perte totale du capital investi.
Emprunt (Dettes)
Si un entrepreneur ne veut pas renoncer à son contrôle, il pourra demander un prêt. Mais les prêteurs savent que de nombreuses petites entreprises pas encore rentables ne le seront probablement jamais et risquent de faire faillite, ils fixeront donc leur prime de risque, le taux d’intérêt annuel, en conséquence. Le capital d’emprunt a une durée fixe, c’est-à-dire que l’emprunteur reçoit un montant fixe du prêteur au moment 0. En contrepartie, l’emprunteur paie généralement une part chaque année (actuellement 5 à 15 % pour les entreprises très risquées) et doit encore rembourser le montant total à la fin du terme. Le emprunteur de capital peut s’acheter des échéances plus longues en payant un taux d’intérêt plus élevé. L’avantage des dettes que le prêteur ne peut pas influencer les transactions est toutefois pratiquement limité, car même le prêteur aura un certain poids dans le processus de décision, surtout dans le cas des très petites entreprises, en raison du risque élevé qu’elles présentent. Le principal inconvénient pour le fondateur est qu’il doit payer des intérêts annuels, que l’entreprise gagne de l’argent ou non, c’est-à-dire qu’en cas de doute, il doit contracter des emprunts pour payer les intérêts courant (système de la boule de neige) et que les emprunts sont programmés pour une certaine période et qu’à la fin du terme, il doit réunir d’un seul coup une énorme somme de capital, soit en épargnant les bénéfices entre-temps, soit en contractant de nouveaux emprunts.
Analyse de l’investissement en LivingPackets
Du point de vue du fondateur, le mode de financement combine les meilleures caractéristiques de la dette et des capitaux propres pour les fondateurs de l’entreprise (et donc les pires caractéristiques pour l’investisseur !)
- Il s’agit d’une participation au forme de de dettes, de sorte que les fondateurs ne perdent aucune influence sur la gestion de la société.
- Bien que l’entreprise se trouve sur un terrain très instable, les préteur de dettes apportent des capitaux sans s’assurer certains droits de consultation – même sans avoir vu un rapport annuel de l’entreprise !
- La durée du prêt est illimitée. Il n’y a pas de date fixe à laquelle la société LivingPackets doit rembourser le capital versé. Les prêteurs ne récupèrent le capital que sous forme de prime à certaines conditions (même si cette prime peut dépasser le dépôt).
- Le paiement du coupon est variable.Bien qu’il s’agisse de capital d’emprunt, l’entreprise ne doit payer un coupon que si elle réalise un bénéfice. 50 % des gains sont versés sous forme de coupons.
- En tant que sponsor de la “Profit Sharing Sponsoring Campaign” dont il est question ici, vous ne serez servi par l’afflux de capitaux qu’APRÈS le paiement des intérêts aux prêteurs conventionnels (actuellement 450 000 CHF de source voir liste suivante, point 4).
Maintenant, considérez
les faits sur les sociétés de capitaux
suivants:
- En règle générale, les sociétés nouvellement créées ont souvent besoin d’au moins dix ans à compter de la première injection de capitaux par des tiers jusqu’à ce qu’elles n’enregistrent plus de pertes (ou qu’elles ne réalisent plus qu’un petit bénéfice). Amazon, par exemple, est cotée en bourse depuis 1997, mais n’enregistre de sérieux bénéfices que 20 ans plus tard, en 2018. Et c’est parfaitement normal et c’est une bonne chose, car au début, un bénéfice n’apporte rien à une entreprise mais la croissance est importante. Dans le cas d’une entreprise comme LivingPackets, il est beaucoup plus logique, d’un point de vue commercial, de conquérir le marché, de se développer autant que possible, de réaliser un quasi-monopole, au lieu d’augmenter rapidement les marges, de faire des bénéfices et de laisser le champ libre à la concurrence.
- Les entreprises peuvent calculer des manières manipulatoires pour minimiser ou maximiser leurs bénéfices. Les bénéfices/résultats sont considérés comme un chiffre comptable très facile à manipuler. On peut reporter ses bénéfices sur la période suivante, par exemple, comme réserve de bénéfices ou autre. Une approche équitable pour l’investisseur serait par exemple de le laisser participer au flux de trésorerie disponible = flux de trésorerie des activités entrepreneuriales – flux de trésorerie des activités d’investissement. Dans ce cas, l’investisseur participerait également à l’afflux de capitaux avant le paiement des intérêts aux autres prêteurs normaux éventuels.
- Si vous contrôlez une entreprise à 100 %, vous pourriez vendre les activités de votre entreprise à une autre société que vous possédez aussi (et faire attention à ne pas faire de profit) et ainsi vider la société de sa substance, puis la dissoudre et ne plus jamais faire de profit. Ou bien vous pouvez créer une deuxième société dont vous êtes propriétaire et qui possède certains droits sur le produit pour lequel LivingPackets doit payer des redevances (qui sont MALHEUREUSEMENT aussi grand que LivingPackets ne peut jamais faire de profit). (Anekdote 2 ci-dessous, c’est ce que fait Nike pour économiser des impôts).
- La répartition promise de 50 % des bénéfices n’est pas nécessairement équitable ! LivingPackets est une société anonyme enregistrée dans la métropole de Lausanne en Suisse. Selon ses propres données non auditées (dans une société normale, un auditeur vérifie les données, ici personne n’a vérifié rien), (remaniement du 12.09. on peut maintenant acceder un rapport audité le site) la société avait un capital propre de 993 120 CHF. Ils ont fait une perte de 6880 euros en 2017. Si on suppose que la société a réalisé la même perte en 2018 et 2019 et au cours du premier semestre 2020, elle dispose actuellement de capitaux propres de 976 000 CHF = 906 000 euros. Le 16.08.2020, l’entreprise affirme avoir déjà reçu 7,11 millions du modèle de financement dont il est question ici. Le total du bilan en 2017 était de 1 458 379 CHF. Cela signifie que 82,9% du total du bilan de la société provient des prêteurs de ce modèle de financement, mais qu’ils ne reçoivent que 50% du bénéfice, ou inversement, que les fondateurs reçoivent les 50% restants du bénéfice pour leur part de 11,4%. Les 5,7 % restants sont détenus par des fournisseurs de capitaux extérieurs réguliers qui, fait amusant, sont également actionnaires, c’est-à-dire les fondateurs. Selon le point 4 de la liste ci-dessus, ceux-ci sont d’abord servis avec leurs intérêts avant que l’un des financiers de la campagne dont il est question ici ne soit servi. Source: Financial Prospectus LivingPackets et copie de sauvegarde de la source.
- Les sociétés peuvent rémunérer les membres de leur conseil d’administration aussi cher qu’ils le souhaitent et, si la société est détenue par un petit groupe d’intérêt conspirateur qui est également le conseil d’administration (généralement le cas des start-ups), ils peuvent se payer un salaire de membre du conseil d’administration si élevé qu’il ne reste aucun bénéfice.
- Étant donné que les fondateurs possèdent 100 % de la société, ils pourraient décider qu’en tant que personne privée, ils donnent à la société un prêt défavorable pour celle-ci, ce qui entraîne des paiements d’intérêts si affreusement élevés de la société aux fondateurs qu’il ne reste jamais de bénéfices (même si la société connaît une forte croissance) et qu’il ne doivent jamais payer rien aux investisseurs du campagne.
Études de cas lorsque l’entreprise ne fait pas faillite et agit de manière moralement irréprochable
Examinons maintenant deux études concrets.
- Supposons qu’une entreprise parvienne à faire des bénéfices après seulement 10 ans et ne veuille pas éviter de payer le coupon d’une manière moralement douteuse. Si l’entreprise a ensuite besoin de 10 ans supplémentaires pour rembourser les 500 %, l’investisseur obtient le multiplicateur de croissance annuel sous-estimant suivant : , soit un rendement annuel de 8,37 %. Le rendement exacte, supposant que le rendement s’effectue reparti homogenement sur les années 11 à 20 est 11,38%. Cela semble toujours être un bon rendement, mais on peut aussi obtenir ce genre de rendement sur le marché des dettes en investissant dans des obligations normales à haut risque.
- Mais supposons que l’entreprise ait besoin de 15 ans pour faire des bénéfices pour la première fois (et c’est toujours plus vite qu’Amazon) et que les bénéfices ne soient pas si importants et qu’il faille 15 ans pour rembourser la dette. Ensuite, d’après nos calculs, nous obtiendrons un rendement de seulement 5,5 % respectivement 7,5 %, comme dans l’exemple ci-dessus, ce qui est inférieur à un investissement dans un ETF sur l’indice allemand DAX, qui ne contient que de grandes entreprises à faible risque et ne présente pratiquement aucun risque de défaillance total. Le DAX a réalisé un rendement annuel moyen de 8 % au cours des 30 dernières années et continuera probablement à le faire au cours des 30 prochaines années. Source : DAX triangle rendement par Hartmut Waltz.
- Si l’entreprise rembourse tous les capitaux comment ils espèrent en seulement 8 ans, on obtient un rendement de 22,3 %, respectivement 29,2 %.
Étude de cas sur l’insolvabilité de l’entreprise
D’après ce que j’ai compris en tant de profane; en cas de faillite de la société, voici ce qui se passera :L’investisseur n’a conclu aucun accord contractuel avec la société concernant le remboursement de son investissement initial, mais dans le pire des cas, cela est interprété comme signifiant qu’il a simplement acheté une participation aux bénéfices plafonnée pour son argent. Cela signifierait alors qu’il serait de toute façon considéré dans la procédure d’insolvabilité après les prêteurs classiques et éventuellement même après les apporteurs de capitaux propres, c’est-à-dire qu’il serait menacé d’une perte totale, même si l’administrateur de l’insolvabilité trouve encore quelque chose d’aliénable dans l’entreprise.
Étude de cas de comportement moralement douteux
Si l’entreprise ne souhaite pas rembourser quoi que ce soit à l’investisseur, elle n’est pas obligée de le faire. Une entreprise qui affiche un comportement aussi douteux, qui offre une opportunité d’investissement sans en expliquer les implications en détail, comme j’ai essayé de le faire ici, ne m’inspire pas confiance. Je ne crois donc pas qu’ils ne tireront pas profit des faits concernant les sociétés 2, 3, 4, 5 ou 6.
Conclusion
Du point de vue de l’entreprise, ce type de financement est ingénieux. Celui qui a eu cette idée a rendu un grand service à l’entreprise. L’entreprise devrait probablement payer des taux d’intérêt élevés sur le marché obligataire ordinaire et a trouvé un moyen de payer un taux d’intérêt modéré dans le meilleur des cas, si l’entreprise obtient de bons résultats et agit de manière éthique. Si les choses vont mal, l’entreprise a reçu un prêt sans intérêt.
Du point de vue de l’investisseur, cependant, nous avons ici un instrument financier très complexe avec un risque élevé de défaillance, sans prime de risque adéquate, que je ne toucherai pas personnellement et où je souhaiterais que la surveillance financière européenne sous la forme des autorités européennes et nationales devienne active ici et, au moins dans les pays de l’UE, impose des conditions à la société pour faire de la publicité pour un tel produit financier très complexe.
Possibilité de rétractation
Je connais ni la loi de la Suisse ni de la France en détail pour dire si vous pouvez rétracter, mais en règle générale, la loi européenne permet une rétraction pour beaucoup de la commercialisation à distance. Et je dirais qu’il y aie une chance que l’entreprise soit obligée de permettre une rétraction, mais c’est a vous d’y faire de la recherche. Si quelqu’un en sait plus, je serais ravi de l’apprendre dans les commentaires.
Anecdote
Anecdote 1 : Il y a ici des propriétaires d’entreprises antisociaux, comme la République fédérale d’Allemagne, actionnaire à 100 % de la Deutsche Bahn. Lorsque la Deutsche Bahn en 2015 faisait une perte de 611 millions d’euros avant le versement des dividendes, le gouvernement allemand a décidé de continuer à verser un dividende de 700 millions d’euros et de porter ainsi la perte de la Deutsche Bahn à 1,3 milliard d’euros. Cette perte a dû être récupérée par la Deutsche Bahn dans cette période et la suivante, dans une large mesure sous forme de capitaux d’emprunt à un taux d’intérêt élevé de 4 %. Pourquoi le gouvernement fédéral a-t-il agi de la sorte ? En raison de l’adhésion au dogme fédéral-allemand du “zéro noir” c’est-à dire de ne pas vouloir endetter l’état, il n’était pas possible de se passer à court terme du dividende prévu de la Deutsche Bahn, bien qu’il aurait été beaucoup plus judicieux que le gouvernement fédéral de renoncer à son dividende et de reprendre le dividende manquant comme capital extérieur avec un financement proche de zéro. Source : Rapport annuel de la Deutsche Bahn 2015, pages 186 et 188.
Anecdote 2 : Nike et d’autres sociétés qu’ on pourrait qualifier de “racaille moralement répréhensible” transfèrent leurs bénéfices à une société qui verse des redevances importantes à une société située dans un pays où les redevances sont à peine imposées. Source : le journal Süddeutsche.
Anecdote 3: LivingPackets a mis ces vidéos de publicité comme non listées, c’est-à-dire qu’on ne peut pas chercher pour ces vidéos ou les trouver par hasard, mais qu’on peut seulement les voir quand l’algorithme de Youtube decide de présenter cette vidéo comme pub ou on peut les accéder à la volonté quand on connaît le lien. Comme l’algorithme de Youtube normalement me présente de la pub visée aux germanophones, je n’ai donc pas pu retrouver le lien du vidéo en francais pour y en faire référence. Mais tu cher lecteur m’y pourrais aider. Quand Youtube te presente la pub la prochaine fois sur un ordinateur normal, fais clique-droit et puis “copier les informations de débogage et colle l’information ici en commentaire. Je serais capable d’en faire une référence a la vidéo non listée.
Clause de non-responsabilité
Je n’ai reçu aucune formation formelle en matière de conseil financier ou de droit financier et je partage ici mon évaluation en tant qu’investisseur privé. Cela ne constitue pas un conseil financier et vous devez consulter un conseiller financier agréé en cas de doute. Au moment de la rédaction de cet article, l’auteur n’a pas de participation en capitaux propres ni en obligations dans la société considérée dans cet article et n’a pas de relation d’affaires avec cette société.
source d’image: billet brulânt